Un otage libéré et c’est à toi que l’on pense, Ingrid ton prénom nous obsède Il s’inscrit et t’inscrit dans nos vies comme un appel, comme une urgence alors nous en faisons notre prière Ingrid, Résiste encore, ils ne t’auront pas.
Nous t’avons hissée sur les murs de nos villes tu es placardée en nous comme un hymne à la vie nous voici devenus relais de ta propre voix pour crier liberté comme tu le faisais toi Ingrid Résiste encore, ils ne t’auront pas
Et notre chœur chaque jour plus puissant devient une mer qui gronde et enfle et que l’on retient avec peine. Il faut se boucher les oreilles pour échapper à son refrain qui scande sans relâche ton prénom, comme une incantation, Ingrid, Ingrid, Ingrid, Ingrid Résiste encore, ils ne t’auront pas.
Tu es notre Marianne à nous notre souci, notre exigence, et ce 8 mars 2008 notre journée de la femme est pour toi Résiste encore Ingrid, ils ne t’auront pas. Marie Blondel Texte N°10 diffusé sur le site www.journee-de-la-femme.com Concours JDF 2008 |
|
Page à imprimer, puis découper (à l'extérieur du 2ème cadre rose), puis placardez le et ouvrez le débat autour de la machine à café par exemple...
|